black hattitude des blancs

Blanc et la black hattitude

Dans cet article je vais vous présenter un bref historique de la durée de vol blanc et son déploiement, et de réexaminer certains éléments d'une étude réalisée sur les chiens île dans les années 1920 pour voir si cela jette quelque lumière sur le sujet. En chemin, je suggère quelques pistes à développer une théorie plus adéquate des mouvements de population et des possibilités d'implantation, d'autant que ceux-ci portent sur les habitudes de la ségrégation résidentielle liée à des quartiers à la réputation.

black hattiude par evila

«Vol Typiquement blanc décrit un processus structurel par lequel la périurbanisation post-guerre a aidé à la ré-ségrégation raciale des Etats-Unis, en divisant les banlieues blanches sans doute à partir des concentrations de black - en grande partie en noir et Chicano - la pauvreté».

Il s'agit de la version académique du terme - et déjà noter qu'il est fort made-in-the USA-hattitude. Aux Etats-Unis, et dans une moindre mesure au Royaume-Uni, «fuite blanche» est un terme galvaudé dans la presse populaire pour décrire-cum-expliquer le mouvement des résidents blancs en dehors des quartiers qui ont commencé à l'expérience de l'immigration d'un nombre substantiel des personnes non blanches. L'hypothèse derrière le terme black est que ces démarches, cependant rationalisé par les déménageurs eux-mêmes (en termes de personnel ou à l'amélioration de la famille) sont principalement motivés par la race, qu'ils sont poussés par la concurrence à caractère raciste sur les ressources rares, comme le logement ou d'équipements publics, et Enfin il ya la notion que la présence de voisins non-blanc entraînera inévitablement une série d'effets négatifs locaux, par exemple la montée du crime et la violence, ou la chute de la valeur des biens, qui ne viendraient pas autrement. Ces craintes de "races" sont tenues pour responsables de la décision de passer à un autre domaine qui est à prédominance blanche et où ces «hattitude black» ne se poseront pas.

black hattitude : Les premières études

Malgré sa prévalence dans les comptes de sens commun de «black hattitude» au cours des 30 dernières années, le terme a une histoire très mouvementée dans les sciences sociales académiques. Elle semble avoir son origine dans une série d'études effectuées par des sociologues américains dans les années 1960 et 1970 dans ce qui s'appelait alors l'écologie urbaine de l'ethno-évolution démographique. Presque toutes ces black portaient sur de longue date des quartiers ethniques blancs, souvent black hattitude, mais parfois, blanc, polonais ou italiens, dans le centre-ville, nombre d'entre eux ayant une population relativement pauvre et vieillissante. Les études portaient sur ce qui s'est passé lorsque les Afro-Américains ou black des zones adjacentes ont commencé à se déplacer dans ces quartiers afin d'échapper aux pressions de la surpopulation et d'autres de la «vie de ghetto», et en ce qui a suivi lorsque les habitants blancs réagi à ces changements en se déplaçant plus loin dans les banlieues. Beaucoup de ces études ont souligné le rôle des agents immobiliers (agents immobiliers par exemple) dans la négociation de ce black hattitude, en orientant les acheteurs de maisons noir dans ces domaines et aussi en encourageant les maîtres de maison blanche à vendre.